Bienvenue dans l’univers captivant du modélisme, une passion qui m’anime depuis mes plus jeunes années, nourrie par une fascination pour tout ce qui vole. Dès mes premiers pas dans ce monde, c’est avec des voitures radiocommandées que j’ai fait mes premières découvertes.
À l’âge de 11 ans, j’ai plongé dans l’univers du modélisme avec l’achat de ma première voiture thermique. C’est là que le bricolage et la mécanique ont fait leur entrée dans ma vie.
Cependant, la terre ferme ne me suffisait pas, et j’ai rapidement orienté mon intérêt vers les cieux. JMon premier hélicoptère à pas fixe en 2S a été le point de départ de mon aventure aéromodéliste.
Des heures passées sur des simulateurs comme Phoenix m’ont motivé à passer à un niveau supérieur avec le Trex450, ma première incursion sérieuse dans l’aéromodélisme. Ma maîtrise de la 3D de base m’a conduit à envisager l’acquisition d’un modèle plus grand, un 550.
Puis, une révolution technologique a pris place avec l’arrivée des multi-rotors, bien avant que le terme « drone » ne s’impose. J’ai préféré utiliser le terme « multi-rotor » pour souligner la nature ludique et modéliste plutôt que l’aspect militaire souvent associé au mot « drone ».
Physiquement la différence est très légère mais les deux choses sont complètement différentes. Un multi-rotor fait parti du milieu du modélisme. C’est un modèle réduit à voilure tournante qui évolue dans les air comme un hélicoptère. A partir du moment ou un caméra vient s’y ajouter, c’est un drone.
Mon premier multi-rotor, un 450, a été une expérience inoubliable, mais j’ai rapidement succombé aux charmes d’un châssis Hexa en 800mm, offrant une stabilité exceptionnelle et la capacité de soulever jusqu’à 5 kg !!!
Les Multi n’était pas encore très connus à cette époque et les nacelles brushless n’existaient pas. J’avais donc monté une nacelle avec des servo 360 et un petit APN.
Suite à des réglementations strictes et mal comprises, j’ai opté pour un modèle plus petit avec une nacelle brushless, basé sur un châssis Tarot 650 avec des bras repliables, offrant une stabilité remarquable, une autonomie de 18 minutes, et des images à couper le souffle.
Expérimentant ensuite le vol en FPV, j’ai acquis un Penguin, un planeur conçu spécialement pour cette pratique.
Le Penguin était génial mais surtout fait pour aller loin et haut. J’avais donc de nouveau le besoin de voler moins haut !!!
J’ai donc choisi de me faire de nouveau un 450 mais avec des bras ouvert à l’avant style TBS pour permettre d’y loger une nacelle brushless. Cette machine était top mais l’autonomie était décevante 11min Maxi
Et hop c’est reparti !!! me voici sur un nouveau projet. Les petits racers pointent leurs bout du nez. Je décide donc d’en faire un moi même en m’aidant de ma nouvelle imprimante 3D !!! Le fait donc le 250 en PLA en prenant un modèle qui cartonne sur Thingiverse : le MHQ2
Ce petit 250 est top !!! perso j’adore car il vole super bien en 4S (Un peu mou en 3S).
J’abandonne ensuite le châssis DIY pour un Diatone 37. Il est plus rigide et plus léger !!!
La voltige au ras du sol à plus de 200km/h c’est top 😉
En 2014, je me suis inscrit au club d’aéromodélisme de Merville (31). Ce super club m’a permis de découvrir une discipline vraiment super et bien plus reposante que les courses de Racer ^^ : Le Planeur.
Jouer avec les thermiques et voir que l’on peu rester des heures en l’air sans problème avec une lipo 900mAh est un vrai régal.
J’ai donc acheté une petit planeur pour débuter que je trouver vraiment fantastique pour le prix : le RADIAN Pro de Parkzone
Puis les choses sérieuses commencent dès mon arrivée en Aveyron.
EXTRA 330 SC 2,3m Electrique